Selon une étude publié fin juin 2015 par PROCOS (Fédération pour l’urbanisme et le développement du commerce spécialisé), le taux de commerces inoccupés dans les centres-villes continue à grimper depuis 2012. Ce phénomène touche notamment les agglomérations de petite et moyenne taille.
Rappelons qu’en 2010 une enquête, financée par l’ADEME, le Ministère de l’Equipement et des Transports et le Ministère de l’Ecologie et du Développement Durable, s’est intéressée à l’impact de la mobilité active sur le commerce de proximité dans certaines villes françaises. L’étude montre que les piétons et cyclistes sont des clients importants pour les commerces de centre-ville, car un automobiliste dépense en moyenne 87% de moins qu’un piéton, 12% de moins qu’un cycliste et 3% de moins qu’un utilisateur des transports en commun. Lire le rapport final.
L’incitation à la mobilité active, une piste intéressante pour revitaliser les centres des bourgs et villes ?
Les quartiers sans / avec peu de voiture vont encore plus loin dans cette démarche. La « plateforme habitat à mobilité durable », une référence suisse en la matière, rassemble quelques éléments de réflexion. Consulter le site internet.
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